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Où Belles-Lettres se livre

 

Rouge et vert d'Henri de Zigler, Histoire des Sociétés d'étudiants à Lausanne d'Olivier Meuwly, Le Cordon d'argent de Léon Savary... De nombreux ouvrages historiques  traitent de Belles-Lettres. Et bien des romans l'évoquent quand d'autres lui sont dédiés - pensons aux Copains de Jules Romains. Nous ne citerons cependant ici que quelques titres.

Livres d'Or des différentes Sections
de Belles-Lettres.

 

Les Sections de Neuchâtel, Lausanne et Genève ont chacune publié des Livres d'Or à l'occasion de leurs anniversaires. Lausanne a ainsi dernièrement Ã©dité une volumineuse mise Ã  jour en 2006.

 

Ces ouvrages comportent l'histoire de la Société, une bibliographie, des témoignages sur la vie quotidienne des Bellettriens. Mais les Livres d'Or contiennent bien entendu aussi des milliers de notices biographiques des Actifs, des Anciens, des Honoraires, des Amis ainsi qu'une liste des présidents d'honneur et des Rubans d'Honneur décernés. Ces Livres mettent en lumière toute la diversité et tout le dynamisme des Bellettriens.

Deux siècles en rouge et vert.
Belles-Lettres de Lausanne 1806-2006

 

"Belles-Lettres n'existerait pas si on savait ce que c'est." Cette déclaration attribuée à André Muret aurait l'avantage de nous dispenser d'un fastidieux travail d'explication. Néanmoins, quatorze Bellettriens se risquent à mesurer l'empreinte de la Société sur la vie politique, artistique et intellectuelle des deux derniers siècles.

 

Revue de Belles-Lettres, Théâtrales, cinéma, architecture, journalisme, politique... Leurs textes vont du billet d'humeur à l'étude historique la mieux documentée. Au fil des pages, le lecteur découvre vite ce qui relie ces Bellettriens aux destins et aux idées si contradictoires : la liberté.

Belles-Lettres Neuchâtel. Un acteur social en Suisse romande (1918-1957)

 

La société de Belles-Lettres apparaît à Neuchâtel en 1832. Ayant pour but à sa création de réunir les étudiants royalistes, elle se distancie rapidement de la politique pour devenir un complément à une éducation supérieure défaillante. Au sortir de la Première Guerre mondiale, cette société d’étudiants s’investit activement dans la vie culturelle neuchâteloise. Alors que la Société fête son 125e anniversaire, aux alentours de 1957, elle cesse ses activités publiques. Quelles étaient les motivations de ceux qui rejoignaient une société d’étudiants ? Que faisaient-ils lors de leurs réunions ? Comment ce petit groupement d’étudiants se distingua-t-il durant quarante ans ? Autant de questions auxquelles Adrien Wyssbrod répond.

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